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 Un Requiem pour une Bête

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2 participants
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Tal'Kien

Tal'Kien


Messages : 458
Date d'inscription : 08/05/2010
Localisation : Pas trop loin de Raven!

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MessageSujet: Un Requiem pour une Bête   Un Requiem pour une Bête Icon_minitimeMer 30 Juin 2010 - 16:37

Voici, comme promis mais à l'avance, ma fic, basée sur que dalle, mal écrite, et tout le batablang.

Le prologue se veut explicatif, donc venez pas me dire "ohé l'autr ya mêm po daction"!


« Lorsque les dieux toucheront la terre depuis leur promontoire dans les cieux, une créature à la peau blanche viendra au monde de l'amour d'une humaine et d'un monstre. Ce jour là signera la première défaite des Diables et leurs disciples, et sera le premier pas vers un monde meilleur [...] »

-La prophétie des Crocs Rouges [extraits]

« La Grande Prêtresse est la seule en droit de porter la vie au sein du Temple. […] Elle est le pilier de la religion et le cœur de la politique de Rabossa. Si la Grande Prêtresse meurt, toute la cité pleure, si elle enfante un bébé, c’est toute la cité qui revit. »

-Les Grandes Lois [extraits]


Prologue : Rabossa la Cité Sainte

Année du Seigneur 696

Les coups retentissaient après quelques minutes seulement. La lame en bois de son adversaire ne se faisait pas attendre.
« Tes appuis » dit-il
L’autre fléchit les genoux et se fendit, mais son coup fut esquivé aisément. Il jura tout bas quand la riposte vint le mettre au sol alors qu’il était emporté par sa lancée.
« L’arme de ton adversaire de ne sera pas en bois, elle, sermonna le premier.
-Adversaire, adversaire ! répliqua l’homme à terre. Il n’y a jamais eu d’attaque visant Rabossa, aux dernières nouvelles… »
Ils le savaient tous, et lui plus que quiconque, mais il s’enhardit à leur expliquer qu’une confrontation pouvaient avoir lieu n’importe quand, dans les cieux. Finalement, lorsque l’entrainement fut finit, il congédia ses frères d’armes.
« Bonne journée Raziel », quelques mots innocents devenus dépourvus de sens, comme « Merci », « Amen » ou « Au revoir ». Toute la caserne le lui disait à un moment ou un autre de la journée, de toute façon.
L’officier resta cependant quelques temps dans le bâtiment suspendue à regarder l’infinie des cieux. Qui avait-il au delà ? Est-ce qu’il y avait quelque chose, au moins ? Depuis sa plus tendre enfance ce commandant de la Garde Céleste se posait ce genre de question.
Après avoir contemplé l’étendue blanche que formaient les nuages, il sortit de la caserne pour aller casser la croute. Comme tous les jours, sa ville l’émerveilla.

Rabossa, la Cité Sainte, était suspendue dans les airs depuis la nuit des temps – en tout cas, c’est ce que prétendaient les prêtresses du Temple. Elle ressemblait à une immense tour qui prenait pied dans le coton blanc des nuages et s’étalaient sur plus kilomètres de haut. Tous les étages, reliés par des escaliers, formaient des arrondissements qui donnaient naissance à des quartiers de plusieurs étages, eux même contrôlés par des guildes. Certaines guildes ne régissaient qu’un seul étage, voir un morceau, c’était notamment le cas pour la guilde des tanneurs, des boulangers, des teinturiers et de tous les métiers de l’artisanat. La guilde de la guerre gérait deux quartiers, où se situant une caserne qui s’étalaient sur les deux étages.

On pouvait reconnaitre la richesse et l’ascendance d’une personne à l’étage où elle se trouvait : ceux du bas appartenaient à la guilde des voleurs et n’étaient qu’un ensemble disparate de bars mal famés, de tavernes souillés par les insectes et de maisons effondrées. Mais c’était aussi le meilleur lieu pour glaner des informations, engager un gêneur ou acheter les charmes d’une femme. Les quartiers riches, au contraire, s’agglutinaient en haut où les habitants se paraient de bijoux autant que de vêtements. C’était aussi en haut que se dressait le Temple, seul lieu de culte officiel de Rabossa, malgré les nombreuses sectes qui persistaient et pullulaient plus bas. Il était habité par des prêtresses, des pages et une Grande Prêtresse. Cette dernière était la personne la plus influente de toute la cité céleste. Humaine, elle s’était unie à un Draconien important et avait eu un fils hybride maintenant aussi au placé que son défunt père, mort en tombant de monture pour chuter par delà les nuages.

On pouvait éventuellement deviner la race d’une personne aux mêmes critères. Les Elfes vivaient dans la partie la plus haute de la ville. Êtres hautains, à la peau pâle et aux oreilles pointues dépourvus de lobes, ils vouaient un culte à la grâce du corps et la profondeur de l’esprit. Leurs magnifiques yeux en amandes possédaient des pupilles fendues telle celles des chats, et la plupart avaient les cheveux blonds avec des yeux bleus ou verts. Dans l’ensemble, c’était les êtres les plus beau que l’ont puisse trouver à Rabossa, leur corps étaient gracieux, leurs doigts agiles et leur esprits affutés. Etrangement, les contes parlaient d’Elfes qui vivaient en forêt alors que les seuls quartiers de la Cité Sainte où on pouvait voir abondamment des arbres étaient abhorrés par les Elfes, aussi appelés « Oreilles » en référence à leurs particularités physiques à ce niveau, et leur ouïe développée à l’extrême.

Dans toute la ville s’étalaient les Humains. Les caractères variaient beaucoup, selon la classe sociale, le métier, les gouts, etc. Tout était fait à mesure humaine à cause de leur nombre qui grandissait chaque jour, alors que les deux autres races de Rabossa étaient relativement plus grandes qu’eux, la plupart du temps. Charpentiers, fermiers, bouchers, voir mêmes ingénieurs dans de rares et très prisés cas, les Humains étaient réputés pour leur polyvalence. Les femmes savaient se vendre dans les bas-quartiers et leurs beautés faisaient d’elle des proies de choix pour les autres races. Les plus riches aimaient se faire courtiser alors que les hommes de la même classe les voyaient partir avec quelqu’un non-Humain en grommelant. De tous, ils étaient les meilleurs en ingénierie. Le très réputé Kamalakaï, un Humain de petite taille au torse perpétuellement caché par sa barbe, qui travaille à la guilde des inventeurs, était devenue célèbre dans la caserne de la Garde Céleste pour sa trouvaille du gyrocoptère, une machine volante aux formes rappelant celles d’une Wyrm. Il étudiait depuis peu sur la poudre explosive et avait inventé les premières fusils à mèches, mais ceux-ci, comme le gyrocoptère à ces débuts, posaient quelques problèmes…

Enfin venaient les Draconiens. Maîtres incontestés de la guilde de la guerre - malgré leur partage de celle-ci avec les humains - ces êtres à la peau blanche possédaient la plupart du temps les plus hauts grades et les plus beaux salaires. Remarquablement endurant, ils étaient capable de couvrir une longue distance en portant quelqu’un sur leur dos, ainsi qu’une armure et des armes, et être encore frais pour un combat long et fastidieux. Leurs têtes, qu’ils appelaient museaux, étaient allongées et leur sourire était devenue légendaire dans toute la cité, car leurs énormes gueules parsemées de crocs, aussi mortel que des lames, avaient fait le tour de Rabossa plusieurs fois après des matchs de draco-bowl particulièrement violent, ou bien des combats de full-contact qui s’étaient mal passés. Ils possédaient un morceau de chair visible à la base du coup. La plupart étaient grand, dépassant les elfes allongés et les hommes robustes d’une bonne tête, et était aussi plus fort dans les domaines martiaux. Leurs bras, légèrement plus long que ceux des hommes, et certainement plus musclés, étaient une arme aussi bien que leurs crocs ou leurs épées, car ils étaient des professionnels des sports dangereux, tel que les deux cités plus tôt. Embauchés comme garde du corps, ils faisaient souvent saillir leurs muscles en bombant le torse, pour témoigner de la puissance de leur protégé. Ils apprécient particulièrement le progrès et entretiennent de bon contact avec certains humains pour ces raisons. Ils ont souvent un gout prononcé pour les femmes humaines et leurs places dans la hiérarchie « créaient » des sentiments réciproques. Leur peau immaculée n’avait pas besoin d’être couvert à cause de la chaleur perpétuel qui en émanait - autre points que les femmes appréciaient – et leurs organes géniteurs étant rétractables, tout ce qu’ils portaient la plupart du temps était une ceinture où ranger ses armes et ses bourses, et une cuirasse lors des patrouilles et des entrainements. Leurs mains et leurs pieds étaient comme ceux des hommes, mais étrangement, ils naissent avec une couche sur les pieds dont ils se servent comme bottes, et celles-ci grandissent en même temps que le corps et ont la même texture. Très peu de gens ont pu voir les orteils d’un représentant de cette race, et très peu de gens le veulent vu le faible intérêt que ça a… Habitués à se tenir droit pendant les cérémonies ou à se mettre au garde à vous, ils se courbent très rarement par habitude, comme le font certaines humains, et ressemble plus aux elfes quant à leur port altier et fier. La différence la plus notable étant que leur largeur au niveau des épaules pouvait faire deux fois celle d’un Elfe. Un Draconien en colère est la pire des nouvelles que l’on puisse noter dans une journée, car si elle ne résulte pas à un duel ou l’autre y perdra ses dents, on peut être sûr qu’il y aura sévices, d’une manière ou d’une autre tant que l’honneur du Draconien n’étaient pas refait.

Les Draconiens portaient aux plus hauts points deux choses dans leur vie : l’honneur et l’amour. L’honneur passait avant tout, même pours les femelles, car un Draconien déshonoré n’avait plus qu’à se pendre (jamais de suicide par l’épée, car ils considèreraient ça comme un dernier hommage que de mourir par une arme). L’honneur intégrait tout : un marchand ne monte pas honteusement ses prix car il en va de son honneur. Le soldat relèvera toujours un défi, même s’il le sait perdu d’avance, car il en va de son honneur. Les Draconiens étaient divisés en clan, les deux plus important étant rivaux, les Helrazaband et les Gauntrazaband, et le déshonneur d’un membre de ces grandes familles portait souvent la misère sur tout le reste du clan.

Leur notion de l’amour était, elle, bien plus compliquée. Un Draconien en âge de se marier ne l’étaient quasiment jamais par arrangement car ils haïssaient ça, considérant qu’un amour programmé n’était qu’une illusion. Ils pouvaient faire la cour à une dame pendant plusieurs années, en posant maints pièges pour dérouter les autres prétendants, en les défiant publiquement lors de combat armés ou lors de match de full-contact. Les chorégraphies lors de ces jeux sont souvent spectaculaires et même ceux qui ne sont en rien concernés viennent voir, quitte à délaisser leur travaille quelques temps, et parient gros sur leurs préférés. Le sens poussé de l’humour et du combat que développait cette race les a rendus distant envers les Elfes, trop sérieux et pacifiques à leurs gouts, et leur dévolu est évidemment jeté sur les humaines quand ils ne trouvent pas l’âme sœur en une draconienne.

Les draconiennes, plus minces que les mâles, étaient les plus belles créatures que l’on puisse voir dans toute la ville et portaient l’élégance à l’extrême, se vêtant d’habits blancs dans leur jeunesse pour porter d’autres couleurs après avoir perdu leur virginité, bien que celles-ci restent pâles pour être assorties à leur teint. Dépourvus d’oreilles telles que celles des Humains ou des Elfes, elles ne portaient pas de boucles d’oreilles, et, la plupart du temps, aucun autres bijoux, si ce n’est éventuellement une chainette avec leur nom ou le nom de leur compagnon gravé sur une plaquette ou un cœur doré. Malgré ce manque d’accessoires, elle rejetait toute une impression d’élégance naturelle.

Leur plus grande passion, aux mâles comme aux femelles, étaient les sports dangereux, tel que les matches de draco-bowl ou les combat de full-contact. Les premiers se jouaient sur un espace rectangulaire avec deux équipes égales et une balle. Le but était de courir le plus de fois possible sur de courtes distance, appelées longueurs, avec la balle en main pour marquer des points. On marquait un point par longueur et dix si ont plaquait la balle de l’autre coté du terrain, coté adversaire. Les matches classiques se jouent en deux cent points. La particularité de ce jeu est que tous les coups son permis tant qu’aucune arme n’est utilisé et que l’autre ne puisse pas en mourir.

Le full-contact est un combat sans véritable règle ou tous les coups sont permis tant que les armes sont mises de cotés. Le jeu se fait sur une zone carrée relativement petite bordée de trois cordes solides et tendues et peut être en un contre un ou en équipe, avec un maximum de trois par équipe. Rarement, on peut trouver des matches à un contre deux ou trois, mais plus fréquemment des matches « relais » en équipe de deux ou les deux joueurs peuvent changer quand ils veulent. Dans les matches de full-contact « relais », qui sont les plus appréciés la plupart du temps, certains joueurs sont très respectueux de leurs adversaires et luttent avec acharnement en poussant les deux adversaires à bout pour sortir et laisser son équiper les achever en les tenant douze secondes au sol. D’autres use de ce que les draconiens appellent dans leur langue ancienne le Hel, c'est-à-dire le contraire du (faut demander à Alaxar) (signifiant Loyal dans la langue Draconienne), et abusent de la liberté des règles pour arriver à deux sur le terrain et prendre l’adversaire par surprise. La méthode la plus répandue est de frapper l’adversaire quand son équipier est bloqué au sol et que le compte à rebours est commencé. Ce genre de combats ne sont pas punis et n’ont rien de déshonorant, mais celui qui utilise du Hel n’as le droit que de rester trois secondes sur le terrain, à moins d’en être sortie et donc de pénaliser son équipier.





Voila... Mais je tient à préciser une chose: la race Draconienne n'as pas été intégralement inventé par moi, ils ont à peu près le physique d'un Ryousanki de Neon Génésis Evangélion, et ont été crés par un ami. Pour cette raison, il est à un moment écrit en parenthèses "faut demander à Alaxar". En effet, faut que je lui demande parce que quand je l'ai écrit je ne me souvenais plus du thermes... J'ai malgré tout imaginé la plupart des choses, ainsi que tout ce qui ne touche pas les Dracouz.
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Sylvanas

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MessageSujet: Re: Un Requiem pour une Bête   Un Requiem pour une Bête Icon_minitimeMer 30 Juin 2010 - 17:01

J'ai trouvé le texte assez bien moi, puis ça nous change un peux de tous les autres textes 40k :noel:

Par contre c'est pas du full contact se qu'ils font tes dracons mais du catch >< !
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Tal'Kien

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MessageSujet: Re: Un Requiem pour une Bête   Un Requiem pour une Bête Icon_minitimeMer 30 Juin 2010 - 17:03

Heu oui, si tu veut... moi j'appelle ça du full-contact :noel:

Considérez que c'est du catch si vous voulez ^^'
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MessageSujet: Re: Un Requiem pour une Bête   Un Requiem pour une Bête Icon_minitime

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