Nom : Dreydric
Prénom : Durzo
Race : Elfe noir
Age : 137 ans
Taille et poids : 1m87 et 70 kilos
Niveau : 1
Expérience : 0
Couronnes : 72
Compétence : Ambidextrie, Spécialisation épée bâtarde, Charismatique, Port de l'armure légère/Port de l'armure moyenne
Équipement : Lame bâtarde, deux dagues barbelées, Kheitan d'acier léger (moyenne), Bottes de cuir noir de haute confection (légère), armure légère d'acier druchii (moyenne), un sac te toile noir, vêtements civils noirs, une couverture teinte de couleurs forestières, quelques rations de nourriture, une outre de vin, cape et capuche noires, carte des côtes, 5 herbes curatives à appliquer, 5 herbes curatives à mâcher, un rouleau de bandage (10 applications)
Description physique : Durzo n'est pas particulièrement grand pour ceux de sa race. Par contre comme tous les autres il possède une peau d'une extrême blancheur, qui le ferait presque passer pour un vampire. Ses cheveux noirs, bien que certaines mèches blanches aient fait leur apparition depuis un certain temps, sont portés assez longs, soit attaché en une petite queue de cheval soit lui retombant sur les épaules et dans le dos.
Il a une stature légèrement plus imposante que celle de ses confrères, ce qui lui a souvent permis de prendre le dessus dans un combat avec un autre druchii. Mais ça ne changerait pas grand chose face à un orque ou un homme-bête.
Son visage n'est pas particulièrement séduisant, fin et élégant, taillé par les éléments et les combats tel un bloc de roc, ses deux yeux acier vous scrutant d'une manière inquiétante qui donne l'impression de percer jusqu'à vos pensées.
Toutefois il dégage une sorte d'aura d'attention qui amène instantanément ses auditeurs à l'écoute la plus parfaite. Ses paroles, ses gestes d'élocution et autre captivent les foules, et il sait comment s'en servir.
Caractéristiques morales : Intelligent et rusé, Durzo n'aime pas partir au combat sans être sur de la gagner. Stratège accompli, il s'arrange toujours pour compter sur des trucs tel que l'effet de surprise, le nombre, l'organisation ou l'attaque dans le dos. Il connait la notion d'honneur, contrairement à ce que pense la plupart des gens, même si comme tout les druchii il la met en pratique de manière étrange.
Assez sociable quand ça l'arrange, il essaye toujours de faire des personnes avec lesquelles il travaille des alliés confiants.
Il aime particulièrement l'alcool, la bonne nourriture et les plaisirs de la chair. D'ailleurs il ne boit de l'eau que quand il n'a pas le choix et le stricte nécessaire.
Impitoyable au combat, toutes les méthodes sont bonnes pour gagner à ses yeux, à part la magie bien évidemment. Le renseignement est une chose primordiale à ses yeux et pour ça il n'hésitera pas à torturer un prisonnier des heures durant, même si ils se limitent depuis qu'il est arrivé dans l'Empire.
Histoire : Durzo est né à Hag Graef, dans une famille de dynaste de second rang, plutôt branchée dans le commerce. Deuxième enfant mâle de la famille, son père s'employa très tôt à faire de lui un militaire efficace tandis que son frère ainé devait reprendre les affaires de la famille. Il fit même son stage à Ghrond avant son frère, de trois ans son ainée pourtant.
Pour cette occasion son père lui avait acheté un superbe cheval pur-sang, à la robe d'un noir profond et parfaitement obéissant.
Rapidement Durzo devint un bon combattant ainsi qu'un excellent meneur d'hommes, et reçut sa propre tour de dynaste peu de temps après.
Son frère fut tué lors d'une expédition commerciale tombé dans une embuscade Autarii. Durzo dut alors juré devant son père de chasser et exterminer ces assassins même s'il savait que la tâche serait ardue. Aussi ne s'y consacra-t-il pas tout de suite.
A la mort de son père il hérita de la petite fortune familiale et de toutes les affaires commerciales de la maisonnée, son père n'ayant pas voulu le donner à une des ses trois soeurs par crainte de leur attirer des époux peu recommandables (enfin plus que la moyenne).
Durzo réussit non seulement à faire fructifier et renforcer l'appui commercial de la famille, grâce à son charisme plutôt qu'à son talent pour dénicher les bonnes affaires, et dans le même temps il commença à lever une petite armée.
Quand celle-ci fut prête, une soixantaine d'hommes dont une quinzaine de cavaliers, il confia les affaires commerciales à l'ancien associé de son père, tandis que lui-même partait en chasse pour une vieille promesse.
Il réussit finalement à retrouver le clan Autarii responsable de la mort de son frère. Il se révéla d'ailleurs n'être que de vulgaires brigands imitant les Autarii pour décourager toute riposte.
Ils n'eurent aucune chance contre les hommes mieux entrainés et équipés de Durzo.
Le massacre fut sans pareil et les soldats laissèrent les corps à la merci des charognards.
La petite armée de Durzo servit dans de nombreuses missions, elle était particulièrement utile pour se protéger des autres dynastes qui pensaient avoir à faire à un pauvre marchand sans défense. Généralement la simple vue de la troupe d'hommes suffisait à les dissuader de s'y frotter. Et dans les cas où cela ne suffisait pas Durzo était obligé de leur prouver sa supériorité tactique qui n'avait jamais failli.
Toutefois un jour un bourgeois très riche commença à s'intéresser à son domaine. Plus précisément à son titre. Un certain Hu Gibbet.
Sa richesse lui permit de torpiller une à une les actions financières de Durzo, et rapidement il ne se retrouva plus qu'avec son armée comme seul atout. Ce qui ne le gênait pas plus que ça, après tout il avait une certaine renommée et il pouvait gagner assez pour vivre comme armée de mercenaire.
Mais un jour, à la sortie d'une ville, une embuscade les attendait. L'ennemi était mal préparé, mal organisé, mal entraîné. Mais il était nombreux et avait quand même l'effet de surprise. Le combat fut acharné, et Durzo en sortit finalement vainqueur. Toutefois de ses soixante hommes seuls une dizaine restait encore debout.
Désormais c'était finis, Hu Gibbet avait presque réussi son coup, il n'avait plus d'armée et plus de revenus commerciaux.
Il fut obligé de laisser ses derniers hommes partir où bon leur semblait, de vendre tous ses esclaves, une très grande partie du mobilier de sa tour de dynaste, beaucoup d'affaires personnelles. Mais pas son titre. Il avait sa fierté, et il était hors de question qu'il abandonne son titre de dynaste pour gagner de l'argent.
Il disparut alors dans la plèbe des cités druchii, gagnant sa vie comme simple mercenaire itinérant. Heureusement ça payais plutôt bien, et il put continuer à mener un train de vie assez convenable.
Il y a quelques années il fut retrouvés, dans une taverne de Karond Kar. Un assassin. Durzo évita le piège mortel qu'il avait tendue par un coup de chance et abattit l'assassin en fuite de deux carreaux dans le dos.
Mais il ne pouvait pas rester à Naggaroth. Si Hu Gibbet voulait vraiment sa peau il pourrait contacter le Temple, et là il n'avait aucune chance de survie.
Il se décida donc à faire une chose qu'il n'aurait pu envisager : vendre son destrier, celui là même qui l'avait accompagné tout au long de sa vie de dynaste, et avec acheter une place sur un bateau corsaire en partance pour l'Empire, histoire d'avoir une chance de leur échapper.
Il confia donc son cheval à une sorte de ferme à but reproductif avant de s'embarquer sur le premier navire corsaire qui repartait du port.
Étonnamment il n'avait pas le mal de mer, ayant pourtant passer son temps à terre, il avait même plutôt le pied marin.
Il fut déposé au pied d'une falaise, dans un petite crique à plusieurs kilomètres du moindre village. Il acheta également une carte des côtés que visitait le navire corsaire au capitaine, il n'avait pas l'intérieur des terres mais c'était déjà ça.
Il se dirigea donc vers la grande ville la plus proche, Marienburg.
Jeu 15 Juil 2010 - 9:37
enfin qu'il y ait une chance 
