Le Nouveau Monde

Jeune homme, comment peux tu ne as connaitre la plus grande découverte de ces mille dernières année? Est il encore possible qu'un aventurier en puissance n'ai jamais entendue parler du Nouveau Monde et des richesses qu'il habite? La jeunesse n'est vraiment plus ce qu'elle était de nos jour...

Loin à l'Ouest du vieux monde, par delà le Grand Océan, se trouve une immense contrée en grande partie inexplorée, la Lustrie.
Le premier homme du vieux monde à avoir foulé le sol du nouveau monde fut le nordique Leif Eriksson l'Egaré qui, en 876, accosta au nord de la Lustrie. Il fonda la colonie humaine de Skeggi qui prospère encore aujourd'hui. Mais n'oublie pas que comme tout ce qui vient du nord, le peuple de Skeggi est corrompu par le chaos. N'y fait escale qu'en cas d'absolu nécessité et reste y le moins longtemps possible, nul ne sait ce qui t'attends si tu t'égare sur le chemin de la damnation. Le continent entier serait recouvert de jungles impénétrables où tout est mortel. Le climat, les bêtes féroces et même la foret pourraient de vous tuer! Survivre dans un tel environnement relève de l'exploit.
Plus proche de nous, en 1492, le grand explorateur estalien Marco Colombo, lança une expédition afin d percer les mystère de la Lustrie. Les récit de ses voyages sont tout simplement fascinant! Il parle de cités d'or sans pareils se dressant à travers les jungles luxuriantes, de lézards capables de marcher sur deux pattes comme un humain, de forger leurs propres armes et de dompter d'autres reptiles d'une taille incommensurable, de femmes combattante et farouches s'armant d'armes magiques extrêmement puissantes! Si ses dires sont vrais, les richesses de la Lustrie sont sans pareils. De nombreux nobles ont déjà tenté d'y faire fortune, en vain. Mais nul doute que d'autres essaieront encore et encore de s'emparer de l'or interdit. Surtout que pour mettre un pied en Lustrie, il faut survivre à la traversée de l'Océan. Ça non plus ce n'est pas facile, les rumeurs font état d'une flottille entière de pirates qui parcourrai les abords de ce nouveau continent. La particularité de ces pirate est qu'ils ne seraient pas humain mais mort vivant. En leur honneur, la cote la plus proche du vieux monde de la Lustrie fut baptisée "Cote Vampire".

Carte de la Lustrie:

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Les informations suivantes sont sensées n'être connues que des elfes

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Extrait Du Livre d'armée des Hommes Lézard

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Le continent de La Lustrie

En dehors des Royaumes du Chaos, il est peu d'environnements dont le caractère hostiles puisse rivaliser avec celui des jungles de la Lustrie, un territoire verdoyant couvert d'une foret ancienne si dense que sa voute semble avoir éclipsé le ciel. Des arbres plus vieux que la race des Hommes y masquent le soleil, leurs larges troncs se fondant dans l'entrelacs des végétaux grimpants. L'air moite y est si étouffant que tout intrus a sang chaud devient rapidement une proie de choix pour la maladie. Des langues de brume épaisse flottent paresseusement au dessus du sol parmi le tapis de broussailles, au travers duquel il est pratiquement impossible de se frayer un chemin sans perde rapidement le sens de l'orientation.

Peu d'explorateurs en puissance vivent cependant assez longtemps pour désespérer de s'être perdus. La Lustrie regorge un vaste nombre d'espèces, allant de la plus petite puce venimeuse aux monstrueux prédateurs identique de taille comme de tempérament au féroces dragons du vieux monde. Le continent est infesté de bourbier et de marécage ou, entre deux poche de gaz, un étranger peut s'enfoncer jusqu'au cou alors qu'il se croyait en terre ferme. Dans cette vase puante serpentent des vers aveugles, qui s'enfonce sous la peau des hôtes infortunés dans le sang desquels ils pondent leurs œufs, les condamnant a une lente agonie lorsque leurs larves se mettront a éclore.

La plus minuscule araignée, le parasite le plus insidieux peut encore être détecté, mais un danger bien pire menace: les effets toxiques des miasmes qui pullulent dans l'humus décomposé. Une paire de bottes, mémé de la meilleure facture, finira par laisser suinter un peu de cette boue écœurante, le pied se sera nécrosé en quelque heures, et en quelques jours le voyageur sera vidé de son sang. les mille-pattes carnivores et les fourmis charognardes qui grouille en ces lieux réduiront vite le cadavres a l'état de squelettes, puis le terreau acide aspirera lentement le moindre osselet.

Toutes sortes d'insectes viennent bourdonner autour des têtes de ceux qui pataugent dans les marais la ou la jungle se fond avec la cote: aux mieux, leur piqure ne provoque que des hallucinations légères, ou des infections qui rongent la chair dans le pire des cas. C'est ici l'habitat des sangsues longues comme des bras, dont la morsure indolore leur permet de se nourrir sans être découvertes jusqu'à ce que leur victimes exsangue s'évanouisse et se noie. Ces infortunés font une proie facile pour le crocodile qui attend patiemment dans l'ombre des mangroves et ne déchaine sa colère que lorsqu'un étranger l'approche par inadvertance. Une gouttes de sang suffit de plus a attirer des bancs de piranhas voraces dont la faim frénétique donne lieu a de sinistre banquets aquatiques.

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Voila pour l'instant... Je continuerai peut-être plus tard