Les niveaux habités

-Suivez-moi.

L'eldar noir se leva et entraîna la hruds dans un hangar où s'affairaient quelques dizaines d'ouvriers. Il les guida jusqu'à deux carcasses de véhicules, sans moteur, armes, ou autre équipement.

-Voilà à quoi ça ressemble, après reste à voir ce que vous voulez rajouter dessus.

[Venom et Raider]

Les deux Hruds observèrent les deux véhicules sous plusieurs angles, observant la quantité de hrud ou de marchandise que chacun semblait pouvoir transporter. Ils observèrent également l'emplacement des tuyères pour en déduire la maniabilité des engins. Ils notèrent que l'un d'eux était doté d'un cockpit fermé, ce qui sembla plaire à Queek qui était le principal concerné, étant le futur pilote. Finalement, ils tombèrent d'accord pour dire que le clan était trop faible pour nécessiter un raider à l'heure actuelle.


"Nous allons vous prendre un Venom avec canon désintégrateur."

Lors du voyage de retour vers son QG, qu'il faisait toujours en veillant que personne ne le suit, Astaroth se rendit chez l'armurier eldar noir pour récupérer les filets qu'il avait commandé. Satisfait du travail, il paya les 550 crédits restant avant d'emporter sa commande et de continuer à descendre les niveaux de la station.

L'eldar noir sembla satisfait.

-Un simple Venom ? Je dispose d'une large gamme d'équipement supplémentaires qui peuvent démultiplier l'efficacité de mes engins, si cela vous intéresse.

"Montrez-nous ce que vous avez. Avez-vous un bouclier d'ombre ou un équivalent qui puisse ête monter dessus?"

-Au fait, quel gang vous envoie ?

"Le gang Rikket. Notre nom ne doit rien vous dire, nous préférons rester dans l'ombre mais nous avons de quoi vous payer votre matériel si celà peut vous rassurer.

Combien pour un simple Venom avec un Canon Désintégrateur?"

-Hum... J'ai pas l'habitude vendre à ceux que je ne connais pas mais bon... Donc voyons, on compte la carcasse, le système antigrav, les moteurs, l'arme, l'assemblage... On arrondit le tout à 6000 crédits.

"En combien de temps pourrez-vous nous le fournir?"

-Faudrait que je vérifie si j'ai les pièces, si oui ça me prendra que quelques jours. Sinon comptez quelques semaines.
Repassez dans quelques heures et je vous donnerai une meilleure fourchette. Ah et, vu la taille de la commande et ce que je risquerai de perdre si je ne la vends pas, je demanderai un quart du prix d'avance.

"Entendu, nous repasserons. En attendant voici l'avance de 1.500 crédits."

Les cinq kroot cherchais la boutique depuis plusieurs jours maintenant, jusqu’à ce qu'ils trouvent enfin se qu'il cherchais s'orientant avec toutes les informations et indications donné a chaque arrêt. Ils entrèrent dans la boutique et le chasseur chercha le commis du regard. Puis, lorsqu'il lu trouver il s'approcha de lui.

-Bien le bonjours... Je cherche des Krootox, et en bonne santé.

-Des krootox ? J'ai bien peur de ne pas avoir ce genre d'articles en stock. Mais, je pourrai éventuellement vous donner une adresse susceptible d'en avoir moyennement quelques finances.

Le kroot enragea, encore une mauvaise adresse!

-Combien?

-Une centaine de crédits disons.

-Hum..... Vendu..

Le kroot tendis l'argent au commis.

-Merci bien. Vous trouverez un marchand spécialisé dans ce genre de marchandises près du marché, sur la place aux Bêtes. Il s'appelle Krark, c'es un ork constamment de mauvais poil, un cigare dans la bouche et une oreille arraché. Et qui portent de tenues étranges, vous pourrez pas le rater.

Le Truk de Gazruk se stationna près du bar des Soixante-douze chopes,un petit bâtiment relativement bien entretenu ou de nombreux clients étaient installés. Gazruk prit deux Boyz avec lui,et laissa les autres dans le Truk. Il entra dans le bar.

A l'arrivée de Gazruk, un kroot se leva de sa chaise plus loin et klui fit signe de venir. Il était accompagné d'un humain que même un ork arrivait à trouver vaguement musclé.

-Bien, vous êtes tous les deux là, parfait. Nous allons attaquer dès que je vous aurais exposer le plan. Le bâtiment de nos ennemis est un ancien entrepôt, entouré de rues. Ils ont effectués un travail de défense correct et l'accès ne sera pas facile... sauf si nous parvenons à infiltrer des troupes par l'ancienne voie de train, enfin on suppose, elle est assez enfoncé pour que des troupes s'y cachent et atteignent le bâtiment, à par tir de quoi on pourra faire diversion.
Des volontaires ?

Gazruk se gratta le menton. C'était un travail pour ses Kommandos.

-J'peux y aller avec mes Kommandos.

-Parfait, quelques chasseurs vous accompagneront si vous ça ne vous gêne pas. Et même si ça vous gêne d'ailleurs. Donc, une fois que les troupes infiltrés se sont arrangées pour perturber le système de défense de ces tafioles, on lance l'assaut général, j'ai fait appel à vos deux gangs parce que ça va être de la grosse mêlée pas belle à voir.
Vous avez bien compris le plan ?

-Compris.

-Bon, dans ce cas c'est partis.

Le kroot se leva, suivit des différents protagonistes. Les trois chefs de gangs quittèrent le bar et rejoignirent les troupes qu'ils possédaient, puis se mirent en route en suivant le kroot.
Ils arrivèrent finalement à proximité d'un entrepôt.

A peine eurent-ils débarquer qu'une demi-dizaine de chasseurs kroots tomba à leur côtés et se dirigèrent vers leur chef.

-Tout va bien, ils n'ont pas bougés, prêts à se faire massacrer.
-Dans ce cas nous pouvons commencer. Vous les suivrez -il désigna du doigt Gazruk et ses kommandos.

Les kroots hochèrent la tête et rejoignirent le groupe d'orks. Suivant les chasseurs, tous contournèrent le hangar à l'abris des bâtiments, puis arrivèrent à une tranchée large et assez peu profonde. De fines barres de métal étaient posés au fond.
Le tout se dirigeaient vers le hangar.

Gazruk regarda cette large allée. C'était bien trop simple. Les Zoneilles étaient toujours fourbes. Il fallait être prudent.

-Ouvr'gorge,passe d'vant,dit le Kaptain.

Le Kommando hocha la tête et alla inspecter l'allée pour voir si aucun piège ne s'y terrai.

[MJ ?]

La tranchée était déserte jusqu'à la limite des bâtiments. Après quoi l'ork ne pouvait plus voir car elle était recouverte de deux plaques de métal qui, il y a longtemps, devaient être capable de s'écarter pour laisser passer un train.
Le kommando ne détecta ni piège ni ennemis embusqué.