Bel Aliad

Paul resta un moment auprés du cadavre décapité, à prendre des notes frénétiques sur la taille, l'apparence, la résistance et le comportement de l'animal, entre autre. Aprés quoi il rangea son matériel et retourna à la caravane l'arme au poing, attendant la reprise de la marche.

Je n'aime pas ces dunes...

Le charognard utilisais ses ailes pour se déplacer en avançant vers le nain. Mais il n'y parvint jamais, il s'écroula sur le sol. Le nain rangea son arme et aborda un énorme sourire.

-Bon! Voila une bonne chose de fait!

Lorsque les rapaces attaquèrent, le cheval de léon se cabra puis fit demi tour, Léon fut trainé sur 10 mètres à trotiné pour réfréné l'animal. Lorqu'il réussi il fit vite fait un noueux avec la laisse du cheval et sa ceinture, le temps de faire ainsi la menace avait été refoulée.

Namori était déçue! Elle n'avait pas eut le temps de combattre! Elle avait observé les gros oiseaux avec curiosité et avait essayer de voir comment les vaincre avec de simples flèches mais les mercenaires s'en étaient chargés trop rapidement!

Elle s'approcha de Paul et lui demanda:

"Dites moi, vous êtes toujours aussi... comment ça se dit dans vore langue... expéditif quand vous combatez? Je veux dire, vous avez complètement applatit ces oiseaux, ils ont pas eut la moindre chance!"

Paul fut surpris de la question. C'était un combat aprés tout, et contre un ennemi qui ne connaissait ni la peur, ni le doute, ni la pitié.

"Contre les mort-vivants? Oui. La seule chose à faire est de les exterminer jusqu'au dernier. Ils n'auraient pas fuit de toute façon si on leur en avait laisser le choix. Et croyez-moi nous n'avons pas gagner le combat. Ce n'était que le comité d'acceuil..."

Léonard avait vu l'un des volatiles foncé sur Paul et Léonard se cachea sous la Caravane le temps de reprends ses esprit, savoir ce qu'il se passait et reflechir à la meilleur des solutions.

Il réalisa très vite qu'il était l'un des moins costaux du groupe et se mit en tête de les aider d'une autre manière, il sorti donc l'un de ses livres et commença à rédiger ce qu'il voyait.
-Apparence squeléttique; grande taille, lambeaux de chair pendent

Je vois je vois, comme c'est intéressant

Léonard sorti de sous la Caravane et se prépara à annoncer comment vaincre ses créatures infames mais il n'eu le temps. Quand il se releva les bêtes étaient déjà vaincues et il était contrarier. Il vu Paul prendre des note, Léonard fu rassurer de voir qu'il n'était pas le seul à tenir des notes importantes.

"-Bon, il me semble que c'était de la nécromancie. se disait-il à lui même. Espéront que la prochaine fois, je puise aider plus rapidement."

Seuls deux colosses de pierres constituaient votre comité d'accueil en Bel Aliad, deux colosses à l'effigie de rois anciens dont les têtes avaient été remplacées par leur équivalent squelettique. C'est sous des auspices peu engageant que vous pénétrez dans la cité. Au loin,s vous apercevez de nombreuses pyramides, de tailles et d'importances différentes. Les plus petites culminaient à une trentaine de mètres tandis que les plus imposantes cachaient même le soleil.

Les rues étaient mortes comme vous vous y attendiez. D'après Gellerman, le moindre des bâtiments de ces ruines recelaient milles et une merveilles. Seulement, vous n'étiez que pour un édifice en particulier, le temple de Ptra. Votre progression fut ponctuée de murmures d'outre tombes résonant dans les murs de la villes. les plus rationnels d'entre vous se rassuraient en se disant que ce ,n'était que le vent qui sifflait dans les coupes gorges étroits. Les plus superstitieux en revanche, imaginaient déjà fantômes et autres non morts.

Ils étaient enfin entrés dans la cité et Léonard ne semblais guère rassuré, il avait l'impréssion d'entendre des murmures qui sortaient de tout les recoins qu'abritai cette cité.

"-Dites, c'est moi où il y a comme des bruits pas ici...." demanda t-il inquiet

Même si Léonard cru comprendre que le groupe ne s'intéressait qu'à un édifice, il ne pu encore une fois s'empécher de prendre note des divers structures qu'il avait devant les yeux, et il devait bient le reconnaitre, de toutes les expéditions qu'il avait mené celle ci est fe loin la plus térrifiante et la plus exitante de toute.

Namori ne comprenait pas très bien. Si les simples batiments comportaient mille et une richesse comme disait le marchand, pourquoi alors aller se faire chier dans un temple pour récupèrer un objet précis? C'était stupide!

La jeune femme essaya de penser à quelque chose qui lui prenait moins la tête et se mi à regarder autour d'elle et à écouter attentivement.

Tout autour d'elle, les maisons et les temples délabrés étaient recouvert partiellement de sable et le vent courait à travers les dédales des ruelles en produisant des sons étranges.

Juste pour être sure de ne pas louper le prochain combat, elle prit son arc en main et y mit une flèche. On était jamais trop préparé...

Alonis était encore resté à l'écart mais il avait attentivement observé l'étrange inconnue qui les accompagnait depuis peu. Non seulement elle avait pourfendu deux créatures sans coup férir mais elle ne semblait nullement impressionnée par les lieux, au contraire, elle agissait comme si elle les connaissaient.
Sa troupe n'avait montré aucune peur face aux morts alors que les habitants de l'Oasis semblaient les redouter, ils se battaient avec des armes et vêtues de parures issues d'un autre temps...
Alonis fit avancer sa monture jusqu'à coté de la femme et alors qu'il la regardait pour la première fois réellement, il fut soufflé par sa prestance de reine. Bien qu'elle ne fut qu'une humaine, c'est presque avec respect qu'il demanda:
-Il est peut être un peu tard pour poser une telle question mais... qui êtes vous, ma dame?
Ahotep releva les yeux vers lui, des yeux anciens, comme Alonis avait pu en voir chez les doyens de sa race.
-Je suis la princesse du désert, je l'ai déjà dit, mon royaume n'est que sable et mes gens sont pour beaucoup mort depuis fort longtemps...
Un instant son regard se perdit dans le néant.
-Je suis la princesse du désert oui, et je suis venu chercher le moyen de faire naitre une oasis en ces terres désolées...

Brignir qui marchait depuis des heures dans le désert, commençait à trouver cela ennuyeux, cette sensation de néant, de vide le fatiguait, il aimerait trouver un coin ombragé pour se reposer. Ce mineur à la barbe grise avait soif, il se désaltéra avec un petit peu de bière. Sa longue marche reprit jusqu'au moment où il trouva une vieille cité dont il ignorait le nom.

Cette cité est un peu moche, elle a l'air vide, un peu comme le désert. Brignir se demandait comment s'appelait cette vieille ville. Il fallait qu'il trouve quelqu'un, pour s'informer. En se promenant dans de nombreuses ruelles, il trouva que du vide, comme si tout le monde était mort ou avait fui. Le nain à l'armure de serpent des mines se posait plein de questions, puis des bruits et des paroles le firent sortir de ses pensées. Brignir alla dans la direction de ces sons, et en sortant d'une ruelle, il vit toute un groupe de personnes. Le prospecteur des mines tenta de les questionner en espérant qu'ils le remarquent :

"- Bonjour à vous, je me présente, je m'appelle Brignir Savorni, nain de la ville minière de Varaknor. Je recherche des personnes qui peuvent me vendre de la nourriture, mes réserves à moi commencent à devenir vide. Puis-je savoir vos noms ? Et est-ce que je peux me joindre à vous ? "

Brignir se demanda qui étaient toutes ces personnes, en tout cas à vu d'œil, il y avait des humains, un ou deux elfes, et même des nains.

Paul n'aimait pas cette ville mais d'un autre coté il se sentait dans son élément. Ce sentait bon la mort et l'abandon. Pas de zombie ici, probablement de beaux squelettes biens polis à l'armure étincellante... Des mort-vivants polis... Paul s'imagina un squelette lui transpercer thorax en disant "S'il-vous-plait". Il chassa de sa tête cette pensée stupide et perçu une discussion derrière lui entre Ahotep et le dénommé Alonis. Celà ne fit que confirmer ce qu'il pensait déjà. Cette femme était dangereuse et pas spécialement leur amie. Il faudra surveiller les mort-vivants mais aussi ses prétendus alliés...

"Dante, Follen. Surveillez vos arrière je redoute une trahison..."

Follen avait réussi à trouver une nouvelle monture, l'un des cavaliers chargeaient de leurs protection c'était fait prendre par l'un des volatiles. Follen hocha la tête, puis continua son chemin, cette citée était stressante, le vent semblait murmurer mélancoliquement des choses incompréhensible. Follen tentait de se changer les idées, se préparant à une éventuelle embuscade, venant du flanc ou de ses arrières. Il dégaina son épée pour plus de précaution.

Malgré l'appréhension des mercenaires, rien ne surgit, pas le moindre squelette, pas le plus humble rapace, rien que le sable charrié par le vent.
Une aura d'effroi régnait en ces lieux et tous semblaient de plus en plus nerveux à l'exception notable de Gellerman et du groupe d'Ahotep.
Sans entrave, tous finirent par parvenir devant l'entrée d'un temple grandiose suivant les critères du vieux monde mais relativement petite en comparaison de certaines des pyramides géantes de la ville. L'entrée gigantesque était couverte par un plafond soutenu par de gigantesques colonnes sculptées à l'image de grand hommes morts depuis bien des siècles. Les murs étaient entièrement peints de myriades de symboles semblant représenter le cycle de la vie en parallèle avec celui du soleil. Flanquant la porte, deux statues de trois mètres de haut représentant chacune un guerrier à tête d'animal montaient la garde, menaçantes.
Les mercenaires restèrent interdits, aucun n'osant faire le moindre geste, encore moins le premier pas.
Ahotep pour sa part descendit avec grâce de sa monture et s'avança jusqu'aux marches du temple où elle s'agenouilla un instant, plaçant les bras en croix sur sa poitrine avant de pénétrer l'édifice, suivie de huit de ses gardes, les deux derniers restant à l'extérieur pour garder leurs montures.
Une nouvelle fois le groupe resta interdit... jusqu'à ce qu'Elenie ne descende de cheval et ne se dirige vers le temple en exhortant les autres.
-Un peu de courage que diable!

Paul c'était arrêté avec le groupe, attendant qu'un téméraire se présente. Il nota les statues immenses et murmura que les voir s'animer ne l'étonnerait pas plus que celà. Finalement d'un ton qui se voulait enjoué il donna une bonne claque dans le dos de Dante.

"Allons mon bon Dante, en avant ouvrez la marche nous vous suivons!"

Paul s'apprétait à suivre derrière Dante, essayant de repérer de possibles pièges tout en étant assuré de ne pas être le premier à les subir...

Suite à l'attaque des rapaces, la progression du groupe c'était faite sans encombres, c'était trop louche au goût du Tiléen, quelque chose se préparait, mais plus cette chose s'annonçait forte, mieux se serait... La troupe arriva bientôt devant un immense édifice d'une beauté rare, rien ne les avait empêché d'arriver jusqu'ici, c'était trop beau pour être vrai, surement un piège.

Le bretteur ne prêta même pas attention aux remarques de Paul et s'engouffra aussitôt à la suite de Ahotep et d'Elenie, dans l'espoir de trouver quelque chose à combattre. Le groupe de celle qui se faisait appeler la princesse du désert ouvrai la voie, aussi, Dante tâcha de ne pas s'éloigner de la femme et des ses guerriers, pour ne pas tomber dans l'un des nombreux pièges dont le bâtiment devait sans doute regorger.

Léonard ne semblait pas vraiment rassuré devant ce temple, il était certes majestueux mais il avait peur. Peur de quoi ? C'était simple à deviner avec tous les livres qu'il avait pu lire sur les contes de ses régions. Il remarqua alors ces deux immenses statues à tête animal, il en avait déjà vu dans ses ouvrages et la peur qui autre fois l'habitai disparue pour laisser place à la curiosité et à l'emerveillement.

Léonard s'approcha donc de l'une des statues sans que les autres membres du groupe ne prettent réellement attention à lui, il s'accroupie face à l'une des statues et d'un geste vif de la main, enleva le sable qui cachait les anciennes écritures. Léonard, malgré son savoir ne réussi pas à déchivrer les inscriptions, il les nota donc dans son calepin, il les analyserait plus tard quand le voyage sera finis.

Léonard continua son analyse de la statue et remarqua quelque chose de singulier. Un symbole étrange semblais resortir du socle de la statue. La curiosité toujours en lui, il n'hésita pas à le toucher. Le symbole s'enfonça dans le socle et il eu l'impresion que la statue s'était mise à bouger. Il crû au départ à un effet de fatigue, mais lorsqu'elle rebouga à nouveau, il compris qu'il venait de faire une erreur.

Léonard se releva et s'exclama d'une voix assez tremblente.

"Euh nobles compagnons, il me semble avoir commis une légère bétise..."

Alors que Léonard activait ce bouton dérobé, une dalle de pierre se mit lentement à descendre et allait fermer la l'accès au temple sous peu alors que de partout dans la ville se fit soudain entendre le bruit de pas cadencé...

Namori contemplait bouche bée le gigantesque temple alors que les autres mercenaires rentraient tour à tour dans l'édifice. Elle ne regretait pas le voyage! Les paysages, l'architecture, les statues, tout était grandiose et démesuré! Le peuple qui avai dut faire ces édifices devait être vraiment dévoués à leur souverains...

Elle resta un certain moment immobile avant de se rendre compte qu'elle était laissée seule avec les deux gardes qui surveillaient les chevaux. Elle se mit à courir pour les ratrapper. Décidément, ils n'étaient pas très ggentils de la laisser comme ça...

Paul rentra rapidement dans le piè... le temple tout en surveillant murs, sol, plafond et mercenaires. C'était vraiment n'importe quoi. Dans un endroit comme ça on ne touche à rien et qu'est-ce qu'il faisait l'autre? Il touchait! Résultat les voilà enfermés dans le temples sans voie de sortie. Paul attendit que tout le monde soit entré.

"Maintenant on a plus le choix, il faut avancer. Faites attention à absolument tout et ne touchez à rien. Nous ne ressortirons pas tous vivants d'ici..."

Gorim, se promenait, le marteau dans les mains, sur ses gardes. Il suivait un dénommé Paul depuis quelque temps, lorsqu'il parla Gorim lui chuchota tout bas:

-Surtout avec des elfes avec nous... Je ne leur fait pas confiance!

Après sa manifique action, Léonard se dépécha se rentrer dans le temple. Il avait l'impression q'être suivie du regard par tout le monde et décida de se cacher dans un coin en attendant les prochaines directives.

Bane entra à la suite des autres dans le temple, avec le regret de laisser un combat magistral derrière lui.

Namori avait bien faillit se rerouver coincée à l'extérieur à devoir affronter une horde de créatures mortes vivantes. Elle aimait le frisson et l'aventure mais là ça aurait été beaucoup trop pour elle.

La jeune archère regarda autour d'elle, contemplant un moment tout ce que le peuple maintenant mort avait accopli il y avait des millénaires. Elle fini par se retourner vers la femme qui semblait les mener, Ahotep, un truc du genre.

"Que fait-on maintenan?"

Akira resta un moment paralysé par la vision d'une armée de squelettes animés marchant vers lui. Le frottement de la pierre sur elle même le réveilla et il piqua un sprint en direction de l'intérieur du temple, sautant in extremis pour ne ps se laisser enfermer dehors. Tout le groupe était parvenu à se faufiler à l'intérieur avant que la porte ne se ferme complétement. Vous voilà piégé entre une horde de morts vivant dont les claquements sinistres se faisaient entendre malgré les épais murs de pierre et un temple inconnu, sans aucune ouverture, à exploré.

Seulement, et en dépit du manque de luminosité vous ne distinguez qu'une seule et unique pièce, assez vaste pour accueillir une petite compagnie. Gellerman sortit un petite pipe de bois de sa poche et prononça un son guttural. Immédiatement l'extrémité de l'objet devint incandescente. Il ordonna à un des ses garde en armure d'or de faire le tour de la salle est d'allumer toutes les anciennes torches cramoisies qu'il y trouverait.

Grâce à la clarté nouvelle, le groupe fut en mesure d'y voir. La salle était entièrement vide et sans issues visibles. seules quelques colonnes écroulés semblaient la meubler. En y regardant de plus prêt, vous apercevez dans le fond une sorte d'autel.